Poursuite de l'activité jusqu'au 12 juillet 2010
Page 1 sur 1 • Partagez •
Poursuite de l'activité jusqu'au 12 juillet 2010
http://www.ledauphine.com/economie-la-chute-continue-pour-le-groupe-une-offre-de-reprise-rejetee-pour-piera-@/index.jspz?article=319510
GAP
La dégringolade continue pour la société Piéra. Ce groupe d'entreprises de promotion immobilière a procédé à de nombreux licenciements et fermetures d'agences ces dernières années. Une déconfiture qui a créé en cascade de sérieux problèmes pour ses sous-traitants et les acquéreurs de ses immeubles et appartements.
Poursuite de l'activité
jusqu'au 12 juillet
La crise a commencé en 2007 et s'est accentuée au fil de la récession du marché immobilier. La situation est devenue intenable. Au point que le 12 mai dernier, le tribunal de commerce a prononcé la liquidation de la société Piéra finance.
La poursuite de l'activité a été décidée par le tribunal jusqu'au 11 juin, puis jusqu'au 12 juillet afin de trouver un éventuel repreneur.
Des offres pouvaient être déposées jusqu'au 28 mai. Une seule proposition a été déposée par les SAS Financière Vectoral et SEME, pour un montant de 3,2 millions d'euros. Celle-ci prévoyait la reprise de dix salariés.
Un point est apparu lors de l'audience : les deux sociétés candidates à la reprise sont des émanations de LBO France (qui détient 100 % du capital), un groupe qui détient via le FCPR White Stone la majorité des actions de Piéra. Dès lors, la qualité de tiers du repreneur a été battue en brèche par le procureur ou le liquidateur.
Un passif déclaré
de 108 millions d'euros
Me Gillibert, l'administrateur judiciaire, a considéré la proposition insuffisante, mais susceptible « en l'état de la catastrophe annoncée, de limiter les dégâts » à en lire le jugement du tribunal de commerce.
La représentante des salariés s'est opposée à ce plan de reprise, l'estimant inadapté à la situation de ces derniers. Le liquidateur Me Decarrière a également demandé que cette offre soit rejetée. Pour lui, cette proposition est « dérisoire » au regard du passif déclaré (108 millions d'euros).
L'offre des deux sociétés a été refusée par le tribunal de commerce. Celui-ci a considéré qu'elles ne pouvaient pas se prévaloir de la qualité de tiers.
Paru dans l'édition 05A du 26/06/2010
</TD></TR></TABLE>
GAP
La dégringolade continue pour la société Piéra. Ce groupe d'entreprises de promotion immobilière a procédé à de nombreux licenciements et fermetures d'agences ces dernières années. Une déconfiture qui a créé en cascade de sérieux problèmes pour ses sous-traitants et les acquéreurs de ses immeubles et appartements.
Poursuite de l'activité
jusqu'au 12 juillet
La crise a commencé en 2007 et s'est accentuée au fil de la récession du marché immobilier. La situation est devenue intenable. Au point que le 12 mai dernier, le tribunal de commerce a prononcé la liquidation de la société Piéra finance.
La poursuite de l'activité a été décidée par le tribunal jusqu'au 11 juin, puis jusqu'au 12 juillet afin de trouver un éventuel repreneur.
Des offres pouvaient être déposées jusqu'au 28 mai. Une seule proposition a été déposée par les SAS Financière Vectoral et SEME, pour un montant de 3,2 millions d'euros. Celle-ci prévoyait la reprise de dix salariés.
Un point est apparu lors de l'audience : les deux sociétés candidates à la reprise sont des émanations de LBO France (qui détient 100 % du capital), un groupe qui détient via le FCPR White Stone la majorité des actions de Piéra. Dès lors, la qualité de tiers du repreneur a été battue en brèche par le procureur ou le liquidateur.
Un passif déclaré
de 108 millions d'euros
Me Gillibert, l'administrateur judiciaire, a considéré la proposition insuffisante, mais susceptible « en l'état de la catastrophe annoncée, de limiter les dégâts » à en lire le jugement du tribunal de commerce.
La représentante des salariés s'est opposée à ce plan de reprise, l'estimant inadapté à la situation de ces derniers. Le liquidateur Me Decarrière a également demandé que cette offre soit rejetée. Pour lui, cette proposition est « dérisoire » au regard du passif déclaré (108 millions d'euros).
L'offre des deux sociétés a été refusée par le tribunal de commerce. Celui-ci a considéré qu'elles ne pouvaient pas se prévaloir de la qualité de tiers.
Paru dans l'édition 05A du 26/06/2010
</TD></TR></TABLE>
idéfisc- Messages : 175
Votes : 197
Date d'inscription : 03/09/2008
Re: Poursuite de l'activité jusqu'au 12 juillet 2010
Merci beaucoup pour ces informations
chantal- Messages : 46
Votes : 38
Date d'inscription : 08/01/2009
Localisation : Paris

» guides de la création d’entreprise pour les artisans, commer
» Programme des festivités de la commune de Harbil du 02 au 05 juillet 2010
» Accident... mortel
» Avenant n° 58 du 7 juillet 2010 relatif aux salaires minima
» loi de la mondialisation sociale de juillet 2008
» Programme des festivités de la commune de Harbil du 02 au 05 juillet 2010
» Accident... mortel
» Avenant n° 58 du 7 juillet 2010 relatif aux salaires minima
» loi de la mondialisation sociale de juillet 2008
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum